La passoire en bambou

La passoire en bambou.

Léger, résistant, multifonction.

En Asie, les artisans savent travailler le bambou comme nulle part ailleurs C’est une tradition millénaire, car la plante pousse en abondance sur tout le continent. Les habitants, qui en ont compris les nombreuses qualités, savent discerner les espèces les plus intéressantes et ont appris à les utiliser dans leur artisanat d’art ou pour les objets du quotidien. Dans les foyers d’Asie, on trouve de nombreux ustensiles de cuisine fabriqués à partir de cette matière naturelle et renouvelable. Cette passoire en lamelles de bambous tissés, de la variété madaké, légère et très robuste, provient du Japon. On y rince, là-bas, les udon ou les soba, ces pâtes au blé tendre ou au sarrasin, qui nécessitent un passage sous l’eau après cuisson avant d’être mélangées dans les bouillons. Grâce à son tissage serré, elle peut aussi être utilisée pour rincer les fruits ou comme corbeille pour leur présentation : ce contenant végétal s’avère idéal pour les conserver en attendant qu’ils arrivent à maturité. Utilisée comme natte de séchage, la passoire en bambou peut accueillir des feuilles fraiches de verveine, de tilleul ou d’autres variétés de plantes à tisane. Sur ce support naturellement transpirant, ces dernières atteindront en quelques jours leur degré de déshydratation maximale et seront mises en bocaux sans risque de pourriture.

Nom : Passoire en bambou
Matériau : bambou fendu et tissé.
Prix : À partir de 12€, selon le diamètre.
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© Jonathan Frantini